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Malgré la défaite des Phoenix Suns sur le parquet des Los Angeles Clippers (103-108), Mickael Pietrus a brillé. Il a en effet inscrit 25 points (dont un joli 5/8 à trois points) pour son deuxième match seulement sous le maillot de Phoenix. En face, Blake Griffin a réalisé son 18e double-double d'affilée, avec 28 points et 12 rebonds.
C'est une bonne performance du nouveau numéro 12 des Suns. Malgré la défaite de Phoenix sur le parquet des Los Angeles Clippers, le transfuge d'Orlando a forcément tapé dans l'oeil de son coach Alvin Gentry. Après avoir marqué 10 points lors des trois premiers quart-temps, le Français a failli devenir l'homme de la fin de match, avec 15 unités sur les 12 dernières minutes. Meilleur marqueur de son équipe grâce notamment à un joli 5/8 à trois points, dont un 3/4 dans le dernier quart, l'ancien Palois s'est clairement démarqué lors de ses 27 minutes de jeu, malgré une ultime perte de balle sur la possession qui aurait pu permettre aux Suns d'accrocher la prolongation.
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Le premier affrontement de la saison entre le champion et Miami a tourné à l'avantage des coéquipiers de LeBron James, auteur d'un triple-double lors de la victoire du Heat au Staples Center (96-80) lors du choc de la journée de Noël en NBA.
L'immense choc devait donner lieu à un mano a mano des plus haletants, mais le duel a tourné court. Face à des Lakers visiblement encore un peu troublés par leur surprenante défaite de mardi face à Milwaukee, le Heat n'a eu aucun mal à conquérir le Staples Center (96-80), en remportant tous les quart-temps. Le trio magique de Miami a répondu présent, surtout Bosh et James avec une mention spéciale pour ce dernier. L'ancien joueur de Cleveland a ainsi passé un triple-double, avec 27 points, 11 rebonds et 10 passes. Bosh s'est lui "contenté" d'un double-double, avec 24 points et 13 rebonds, tandis que Wade a passé 18 points.
Intraitables pour décrocher leur 14e victoire sur les 15 dernières rencontres, les stars du Heat ont aussi pu compter sur le coup de pouce plus inattendu de leurs adversaires bien éteints. Odom a frôlé le double-double avec 14 points et 9 rebonds, mais Gasol et surtout Bryant ne l'ont pas vraiment secondé, auteurs de seulement 17 points chacun. Le premier des deux chocs prévus lors de la saison régulière entre les deux poids très lourds de la NBA a donc choisi son camp, indiquant peut-être une nouvelle tendance pour 2011. Le Heat paraît définitivement réglé, tandis que les Lakers sont dans le doute. Rien de bien méchant, mais la symbolique était forte face à son principal rival en ce jour de Noël.
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Plusieurs villes sont susceptibles d’accueillir la franchise des Hornets en cas de déménagement, dont Kansas City.
Les Hornets vont-t-ils rester à La Nouvelle Orléans à l’avenir ? C’est le souhait de la NBA, qui a racheté la franchise de George Shinn pour assurer au mieux la transition. Sauf que si la Ligue ne trouve pas de repreneur en Louisiane, elle devra bien l’autoriser à déménager. Dans ce cas, Kansas City fait figure de favorite d’après la presse américaine. Seattle, Anaheim, San Jose et Las Vegas sont également citées. Les Hornets sont contractuellement liés à la salle de la Nouvelle Orléans jusqu’en 2014. Un contrat qui pourrait toutefois être cassé si l'affluence venait à baisser dangereusement...
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Larry Brown a décidé, en accord avec son président Michael Jordan, de ne plus être l'entraîneur des Charlotte Bobcats.
Avec un bilan négatif de dix-neuf défaites pour neuf succès et une modeste 12e place à l'Est, les Bobcats avaient sous doute besoin d'un électrochoc. Comme souvent dans pareil cas, c'est l'entraîneur qui en fait les frais même si cette fois, c'est directement Brown qui a décidé, en accord avec le président Michael Jordan, de se retirer. «J'avais eu une discussion avec Brown il y a deux semaines, où nous avions évoqué les performances de l'équipe et les moyens pour y remédier, a déclaré l'ancienne star de la Ligue. On s'est réuni de nouveau ce matin (mercredi) (...) et sommes tombés d'accord sur le fait qu'un accord était nécessaire.»
Charlotte, qui avait décroché pour la première fois de son histoire un ticket pour les play-offs l'an dernier, restait sur six revers sur ses sept dernières sorties. Agé de 70 ans, Brown, réputé pour imposer un jeu basé sur une défense physique et rigoureuse, est le seul coach de l'histoire de la NBA à avoir mené huit équipes différentes en play-offs. Il a connu la réussite ultime en 2004 en remportant son unique bague de champion avec les Pistons.
Brown, qui a entamé sa carrière de coach il y a trente ans, reste le seul coach à avoir cumulé titres NCAA et NBA. Passé par Denver, San Antonio, New Jersey, Indiana, il entraînait les Bobcats depuis avril 2008 et va chercher une nouvelle équipe. «Ça a été une décision difficile à prendre. Je veux remercier Larry pour tout ce qu'il a apporté à l'équipe. Il continuera à être un conseiller précieux», a conclu Jordan. Paul Silas, (ex-Clippers, Hornets et Cavs) assure l'intérim alors que les noms de Patrick Ewing, grand ami de Jordan, et Mike Woodson ont été évoqués pour la suite.
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Alors que Joakim Noah, touché au pouce, ronge son frein sur la touche en attendant 2011, les Chicago Bulls, surpris trois jours plus tôt par les Clippers de Blake Griffin, se sont vengés sur les pauvres Philadelphie Sixers, repartis du United Center avec 45 points dans la musette (121-76).
Et Derrick Rose n'a même pas eu à forcer son talent, si ce n'est pour faire jouer ses partenaires. Le meneur all-star des Bulls a terminé avec un assez rare double-double: 22 points, et 12 passes décisives.
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